Pour moi, la vie s’est quasiment arrêtée là.
La mort de Suzanne m’a démoli.
La vie comme une grande désillusion.
Je pensais, naïvement, avoir tout construit,
pas à pas, brique après brique.
Je pensais que la vie m’avait offert un équilibre,
un équilibre quasi immortel,
et j’avais oublié la mort,
comme un idiot.
Source : Nous vieillirons ensemble. suite : julienmagre.fr
Le coup de poing de l’été, sans mots devant le sort et l’horreur.
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