La vie n’est pas une « Creative Suite » | Polylogue

Le moment est venu d’aborder les sept pêchés capitaux du graphiste que j’ai moi même à confesser et que j’ai aussi repéré chez les autres. Orgueil (de changer le monde par leurs créations), envie (d’être artiste et de vivre en industriel), paresse (de glaner et recycler les bonnes idées ambiantes), luxure (celle-là restera top secret ici), gourmandise (deviser toujours trop haut), colère (en perdre les appels d’offres), avarice (au moment de partager les honoraires rétrocédés). Mais les pêchés capitaux ne sont pas les plus graves, ce sont ceux qui entraînent sur la voie des pêchés mortels. Et les pêchés mortels du graphiste pourraient bien être : la procrastination, le systématisme, la vanité. Vérité et solitude de l’indépendant. Mais un seul risque vraiment de devenir mortel, c’est à dire de détruire le métier.

Source : La vie n’est pas une « Creative Suite » | Polylogue

à lire, pour sortir de sa bulle Adobe…

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